Les amendements de Arnaud Richard pour ce dossier

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Monsieur le président, monsieur le ministre, madame la présidente de la commission des affaires sociales, chère Catherine, monsieur le rapporteur, cher Jean-Patrick Gille, père du COPINEF, mes chers collègues, alors que le Gouvernement nous présente ce texte comme le plus important de la législature sur le travail et la formation, ainsi que M. ...

Soit ! Alors que nous attendions effectivement un projet de loi ambitieux réformant profondément la formation professionnelle, nous faisons le constat, avec Francis Vercamer, que ce texte n’est pas en mesure de répondre aux défis actuels, en particulier en matière d’apprentissage et de formation. Oui, monsieur le ministre, il y a urgence : urg...

Madame la présidente, monsieur le ministre, madame la présidente de la commission, madame la présidente de la délégation aux droits des femmes, mes chers collègues, encore une procédure accélérée !

Pour ma part, je ne vais pas verser dans ce qui pourrait devenir une litanie. À force de voir le Parlement rentrer sans cesse sous sa tente, comme Achille, mais à l’inverse de lui pour ne jamais en sortir, on laisse penser que l’impuissance publique aurait trouvé son siège dans notre hémicycle. Quand ce Gouvernement parviendra-t-il à se départi...

Quand mettra-t-il ses actions en accord avec ses déclarations, alors qu’il nous présente ce texte comme le plus important de la législature sur le travail et la formation ? Je ne conteste pas l’idée de l’urgence sociale et de la nécessité d’une mobilisation sans précédent sur ce sujet. De fait, monsieur le ministre, il y a urgence, parce que l...

Il y a urgence, parce que, au moment où il faudrait libérer toutes les énergies, on voit qu’elles ont été contraintes, muselées et découragées.

Il y a urgence, car vous avez matraqué les ménages et les entreprises françaises depuis votre arrivée au pouvoir,…

…en leur ponctionnant 30 milliards d’euros d’impôts supplémentaires en dix-huit mois. Et ce seront 10 milliards de plus en 2014 ! Je ne parlerai pas du pouvoir d’achat, ni de la compétitivité de nos entreprises au plus bas depuis trente ans. Il y a urgence, mais plutôt qu’un texte rédigé et présenté à la va-vite – vous vous en êtes d’ailleurs ...

…tandis que nous n’en sommes qu’à 435 000 en France, pays qui a porté l’entrée en apprentissage de treize ans à seize ans. Or une meilleure formation professionnelle est une garantie, tant pour les salariés qui pourront ainsi conserver leur emploi ou évoluer professionnellement, que pour les demandeurs d’emploi, qui verront de plus grandes oppo...

qui n’ont pas trouvé leur place dans cet accord. Autre question : s’est-on vraiment donné les moyens de développer puissamment l’apprentissage ? Je ne le crois pas. Que fallait-il faire ? S’inspirer du modèle allemand et doubler le nombre d’apprentis ? Peut-être eût-il fallu en effet faire preuve d’un tel volontarisme, à l’instar de celui de J...