Les amendements de Christian Jacob pour ce dossier

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Monsieur le Premier ministre, au nom du groupe des Républicains, je dirai tout d’abord qu’en ce moment tragique nos pensées vont au peuple belge, aux victimes et à leurs familles. La solidarité entre la France et la Belgique doit être totale. Elle le sera, car la France et la Belgique, face au terrorisme, partagent le même destin et sont confro...

Des actes forts en matière de contrôle de nos frontières, de mise hors d’état de nuire des individus revenant du djihad, d’assignation à résidence des fichés « S » et d’isolement des détenus islamistes en prison !

Il faut également faire adopter le PNR afin de disposer d’un fichier européen des passagers aériens. Pourquoi ce texte n’est-il toujours pas à l’ordre du jour du Parlement européen ?

Vous devez dénoncer avec nous les alliances politiques contre-nature qui empêchent son adoption, monsieur le Premier ministre ! Les Français comprennent bien que le risque zéro n’existe pas. Ce qu’ils ne comprendraient pas, c’est notre faiblesse, nos atermoiements et nos débats philosophiques alors que nous sommes en guerre !

Monsieur le Premier ministre, jeudi, nous avons voté la prorogation de l’état d’urgence. Nous avons également voté un renforcement de la loi de 1905 qui va dans la bonne direction.

Pardon, la loi de 1955 : vous aviez corrigé ! Nous attendons désormais la loi qui permettra, dans les plus brefs délais, de mettre en application les propositions que nous avons faites. Monsieur le Premier ministre, à l’heure où le peuple français enterre ses enfants, il oscille toujours entre recueillement, émotion, colère et interrogations –...

Les Français attendent également des réponses de l’Union européenne. Monsieur le Premier ministre, pouvez-vous nous dire quelle position précise défend la France quant à la refonte totale des accords de Schengen ? Quel est le calendrier de l’adoption du PNR – Passenger name record –, ce fichier aérien dont les Français ne comprennent pas pourqu...

La guerre que nous livrons, nous la gagnerons ici, en France ; nous la gagnerons dans une Europe qui accepte de se protéger, qui accepte de contrôler et de surveiller ses frontières, mais aussi en frappant durement l’État islamique là où il prospère. Monsieur le Premier ministre, nous souhaitons vous entendre sur un second sujet : le Président...

Monsieur le président, je sais qu’un hommage sera rendu à Charles Pasqua au Sénat, dernière assemblée où il a siégé, mais permettez-moi, au nom de mon groupe, d’avoir une pensée émue pour celui qui fut un grand patriote et un grand serviteur de l’État.

Merci, monsieur le président. Merci également à vous, monsieur le Premier ministre, et au Gouvernement, ainsi qu’à tous nos collègues qui ont salué la mémoire de cet homme d’État. Monsieur le Premier ministre, un homme, un innocent, un Français digne et droit, est mort décapité au nom de l’islamisme radical qui nous a déclaré la guerre. Pour t...

Enfin, avec la déchéance de nationalité et l’expulsion des binationaux qui ont porté les armes contre la France.

Ceux qui combattent et qui salissent le drapeau français ne méritent pas d’être Français. Ma question est donc simple : monsieur le Premier ministre, au moment où les Français attendent de nous que nous soyons unis et intraitables face à nos ennemis, allez-vous retenir nos propositions ?