Je ne vois pas comment concilier les deux principes de la flat tax et de la « familialisation » de l’impôt sans créer une sorte de double circuit : celui que vous nous reprochez, à savoir les prélèvements opérés notamment auprès des salariés et des retraités ; une déclaration, ensuite, qui viendrait, si j’ose dire, coiffer le tout, afin d’intégrer la « familialisation » de l’impôt. Avec la flat tax et la « familialisation », que vous appelez de vos voeux – et je le respecte, même si ce n’est pas mon cas –, vous créeriez immanquablement un tel double circuit.