Nous entrons là dans des considérations de technique budgétaire qui ne concernent pas seulement l'Azerbaïdjan.
La DAECT évalue l'effet de levier de ses propres crédits, qui viennent en cofinancement des projets des collectivités territoriales. Sans en avoir certitude puisque certaines collectivités ne déclarent pas leurs coopérations décentralisées, nous estimons cofinancer entre un cinquième et un quart des projets de coopération décentralisée. Cela signifie que le reste se fait sans cofinancement du ministère ; nous n'en avons donc pas connaissance directe.
Dans notre rapport d'activité annuel, nous mentionnons les crédits de cofinancement que nous mettons en oeuvre pour les projets qui nous sont soumis, et que nous sélectionnons. C'est sur cette part que nous faisons rapport. Nous ne disposons que d'une image très imparfaite de ce qui est réalisé par ailleurs. C'est comme si nous n'éclairions qu'une partie d'une rue : nous pouvons facilement décrire ce qui est éclairé, non ce qui ne l'est pas.