Pour des raisons géopolitiques, la situation semble s'être inversée et les Azerbaïdjanais sont désormais demandeurs, à mon sens, d'un règlement pacifique du conflit, tandis que l'Arménie est plus en retrait. De surcroît, le caractère fallacieux de la République autonome du Haut-Karabagh, que personne ou presque ne reconnaît officiellement, contribue à geler le conflit.