Je n'ai aucune obsession vis-à-vis de l'Azerbaïdjan ; je ne fais qu'un travail de reportage. Dans le reportage que nous avons fait sur l'Azerbaïdjan, et que vous n'avez sans doute pas vu, nous n'avons pas visé les groupes d'amitié parlementaires mais l'Association des amis de l'Azerbaïdjan, ce qui est très différent. Il va de soi que l'appartenance à un groupe d'amitié avec un pays comme l'Azerbaïdjan ne pose naturellement aucun problème à personne ; c'est même une nécessité pour les parlementaires qui s'intéressent aux affaires internationales.
Nous nous sommes simplement interrogés sur le fonctionnement de l'Association des amis de l'Azerbaïdjan, au conseil d'administration de laquelle siègent plusieurs parlementaires dont M. Thierry Mariani, que nous avons rencontré : il a découvert à cette occasion qu'il siégeait à ce conseil d'administration et n'a pas su nous dire pourquoi.