Intervention de Thierry Mandon

Séance en hémicycle du 23 mai 2013 à 9h30
Fait personnel

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaThierry Mandon :

Je n'ai pas eu le temps, madame la présidente, de vérifier dans le compte rendu les propos exacts que j'ai tenus. Je ne crois pas avoir jamais cité M. Fasquelle et l'avoir mis en cause personnellement

(« Si ! » sur les bancs du groupe UMP.)

On vérifiera et, si tel était le cas, je corrigerai. Telle n'était pas, en tout cas, mon intention car je sais le travail qui est fait à Boulogne-sur-Mer.

Je n'ai évoqué que la crainte, existant chez certains, envers les étudiants étrangers : je ne voudrais pas que notre débat permette de donner à nouveau asile à cette crainte. Voilà le sens que je voulais donner à mon intervention, et sur lequel je ne reviens pas.

Si M. Fasquelle a été mis en cause de mon fait, quoique involontairement, je m'en excuse. S'il ne l'a pas été et qu'il l'a pris pour lui-même, telle n'était pas mon intention. En revanche, ceux qui craignent les étudiants étrangers rendent le pire des services à l'université française.

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