Intervention de Patrick Selllin

Réunion du 10 septembre 2013 à 17h00
Délégation aux outre-mer

Patrick Selllin :

Tout d'abord, une grande part des terres en friche est due à des situations d'indivision.

Par ailleurs, les friches, qui représentent environ 11 000 hectares en Guadeloupe, n'ont pas forcément une valeur agronomique. La SAFER aurait fort bien pu jouer un rôle, mais la réforme foncière a réduit le personnel de la société d'aménagement foncier de Guadeloupe à six ou sept personnes. Oui, la SAFER pourrait être mobilisée, encore faut-il lui en donner les moyens.

Cela dit, l'établissement public foncier (EPF) mis en place dans notre département sera doté de financements plus importants – d'ailleurs il englobera l'Agence des 50 pas géométriques. Mais en l'état actuel des choses, la SAFER n'est pas en mesure de répondre à ce problème.

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