C’est la liberté du peuple centrafricain, son aspiration à retrouver la paix et la sécurité, à bénéficier de l’assistance humanitaire la plus élémentaire que nos hommes défendent aujourd’hui avec les forces africaines. Cette cause est juste. Elle correspond à l’idée même que la France se fait de sa place dans le monde. Le Président de la République et le Gouvernement ont donc fait le choix de l’action.
À l’heure d’assumer à nouveau cette responsabilité, je sais que nous continuerons à nous rassembler. L’Assemblée, je l’espère, le démontrera de manière solennelle et digne cet après-midi pour que nos soldats, se sentant soutenus, soient plus forts et que les objectifs de la France soient pleinement atteints.
Voilà, mesdames et messieurs le message du Gouvernement.