Dans votre exposé peut-être pessimiste, j'ai surtout entendu, pour ma part, un appel à la créativité. Les écologistes prônent depuis longtemps une telle écologie des solutions. En effet, si on en restait au scénario, hélas crédible, qui se dessine, on se dirigerait tout droit vers la guerre – le mot n'a certes pas été prononcé, on préfère, pour ne pas effrayer, parler seulement de « conflits ». Mais de fait, des guerres ont d'ores et déjà lieu dans certains pays autour des ressources naturelles comme l'eau et d'autres éléments vitaux.
La résistance au changement la plus forte sur le plan international est-elle aujourd'hui de nature politique ou vient-elle des lobbies de l'industrie ou de la finance ?