À toutes ces questions, je n'en ajouterai que deux. La réussite de la conférence de Paris en 2015 ne passera-t-elle pas par l'institution d'une taxe sur les transactions financières au niveau européen, dont une partie du produit pourrait alimenter le Fonds vert, créé au profit des pays en développement ?
Aujourd'hui strictement diplomatique, la gouvernance des sommets internationaux consacrés au climat ne devrait-elle pas à l'avenir associer des territoires, des agglomérations, voire de grandes entreprises qui se mobilisent dans la lutte contre le réchauffement climatique ?