Quant à nous, nous respectons les victimes et nous en parlons parce que chacune est une personne ! La Victime incarnée n’existe pas ; il s’agit de personnes qui, à un moment de leur vie, sont confrontées à une souffrance, à une douleur, et qui doivent les affronter ! Il ne faut pas leur faire croire que la décision judiciaire répare cette souffrance et cette douleur.