Intervention de Stéphane le Foll

Séance en hémicycle du 11 septembre 2014 à 9h30
Agriculture alimentation et forêt — Discussion générale

Stéphane le Foll, ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt, porte-parole du Gouvernement :

Je veux dire quelques mots à la fois pour me féliciter de toutes les interventions et pour remercier tous ceux qui ont participé à ce débat : Germinal Peiro bien sûr, rapporteur de cette loi ; Jean-Yves Caullet sur la forêt ; Jean-Pierre Le Roch sur l’enseignement ; les chefs de file Dominique Potier et Pascale Got ; Chantal Berthelot pour l’agriculture des Outre-mer ; mais aussi François Brottes, président de la commission, et la vice-présidente Frédérique Massat qui a formé d’ailleurs un duo souvent convaincant avec M. Saddier sur cette grande et belle question de l’agriculture de montagne. Je salue aussi Fanny Dombre Coste, Hervé Pellois, les radicaux comme Jeanine Dubié ou encore Joël Girod qui nous a rappelé les enjeux de l’irrigation capillaire ; les écologistes comme Brigitte Allain, toujours là, toujours présente pour défendre ses idées et ses convictions. Je ne vais pas revenir sur André, notre poète, sur Thierry Benoit et sur Charles-Amédée de Courson qui, les lunettes bien vissées, lorsqu’il s’agissait de fiscalité, est venu pointer son nez sur la loi d’avenir de l’agriculture

Je voudrais saluer aussi Antoine, qui chuchote ses soutiens et tonne lorsqu’il s’oppose (Sourires), ainsi qu’Annie Genevard et Dino Cinieri – je me souviens de cet amendement sur les friches qui nous a tous rassemblés ; Philippe Le Ray, le Breton, qui a beaucoup participé. Il n’est pas présent aujourd’hui, mais je tenais à le saluer.

Et je n’oublierai pas bien sûr, descendu de sa montagne, ayant entrecoupé sa « marche » de quelques présences dans les travées de l’Assemblée, Jean Lassalle, qui à chaque fois nous rappelle une vérité toute simple : derrière l’agriculture, derrière ce secteur économique, il y a surtout des hommes et des femmes.

Je terminerai sur un petit mot de Saint-Exupéry : « C’est l’esprit qui mène le monde et non l’intelligence. » En effet, disait-il, « si tu veux construire un bateau, fais naître dans le coeur de tes hommes et femmes le désir de la mer ». L’esprit, c’est ce qui donne envie aux hommes de traverser les océans ; l’intelligence, c’est ce qui permet de construire des bateaux. Je crois qu’ensemble, nous avons eu et l’esprit, et l’intelligence.

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