Intervention de Bérengère Poletti

Réunion du 30 septembre 2014 à 17h00
Commission des affaires sociales

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBérengère Poletti :

L'ONU a qualifié cette grave crise sanitaire de menace pour la paix et la sécurité internationale. Les reportages sur le terrain montrent, en effet, que l'épidémie est loin d'être circonscrite, qu'il reste encore beaucoup à faire et qu'il est urgent que nous nous mobilisions. Pouvez-vous confirmer que les bénévoles et les professionnels de santé qui meurent des suites de la maladie représentent 10 % des victimes ?

Nous sommes heureux de savoir que l'infirmière bénévole rapatriée va mieux. MSF estime toutefois que son rapatriement n'a pas été assez rapide. Qu'en dites-vous ?

Ebola est-il un virus mutant, ce qui a des implications en termes de recherche ?

Vous avez évoqué les rites funéraires. J'ai cru comprendre qu'un cadavre était vingt fois plus contagieux qu'un malade. Il est donc indispensable de s'occuper des corps le plus rapidement possible. Quels moyens financiers mettons-nous pour cela à la disposition des pays touchés par l'épidémie ?

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