Le contrat vendanges, qui permet à des fonctionnaires, à des étudiants ou à des retraités de contractualiser pour les vendanges, reste inchangé.
Pour donner du pouvoir d’achat, la bonne méthode était de baisser la part de cotisations sociales payées par les salariés, mais de manière globale. Votre position est en effet contradictoire : après avoir refusé ce dispositif dans le cas général, vous le défendez pour le seul contrat vendanges.
On peut penser par exemple aux ramasseurs de pommes, qu’évoquait tout à l’heure M. Herth. J’ai moi-même ramassé jadis des pommes. À l’époque, il fallait en récolter 56 cageots par jour pour toucher le SMIC : étant donné que j’en ramassais 82, je gagnais donc plus que le SMIC.