Monsieur le secrétaire d'État, il y a quelques années, le thon rouge était menacé de disparition en Méditerranée. C'est devenu une pêche réglementée, avec des quotas très stricts.
Aujourd'hui, les gros bateaux industriels pêchent essentiellement pour l'export, vers le Japon notamment, où le thon se vend à prix d'or. Parallèlement, il y a la pêche artisanale des petits navires, la pêche à la canne et la pêche à la palangrotte.
Le problème vient de ce que la répartition des quotas semble pénaliser la petite pêche artisanale, apparemment plus respectueuse de l'écosystème. Avez-vous des pistes pour rééquilibrer la répartition de ces quotas ?