Je vous remercie, monsieur le secrétaire d’État, pour votre réponse et je prends bonne note des engagements pris par l’État.
La difficulté réside dans cette somme allouée à la réalisation de l’étude et aux acquisitions foncières, voire aux premiers travaux, qui ne me semble pas suffisante au regard du caractère très accidentogène des secteurs qu’il conviendrait de traiter en urgence.
Je comprends les contraintes financières de l’État et des collectivités, mais j’espère qu’à terme nous pourrons régler les problèmes réels de sécurité que pose cette route nationale afin de rassurer ses utilisateurs, les habitants des hauts cantons et tous les riverains.