Cela ne veut pas dire pour autant qu'ils connaissaient toutes les subtilités de la doctrine. La radicalisation des jeunes en France – question dont nous ne sommes pas spécialistes – renvoie davantage à une forme d'extrémisme général qu'à l'adoption de principes islamiques étudiés dans les textes. C'est ce qui fait la grande différence avec la génération précédente.