J'avoue mal comprendre les arguments de M. Le Bouillonnec. Les élus des syndicats de communes ont intégré le fait métropolitain et la définition de son territoire. N'y a-t-il pas toutefois quelque arrogance à vouloir en fixer le périmètre ad vitam aeternam, en excluant l'idée de jamais y intégrer d'autres communes limitrophes ? Qui peut aujourd'hui savoir s'il ne faudra pas procéder à des aménagements à la marge ? Cette clause de revoyure ne menace en rien d'amputer le futur territoire métropolitain ; elle ne peut, au contraire, que l'enrichir. Je ne comprends pourquoi nous devons avoir une vision figée.