J’ai voté contre le projet de loi, à l’époque, et je ne le regrette pas aujourd’hui. D’ailleurs, le débat est rouvert, et nous sommes tous à nous demander pourquoi nous nous retrouvons dépossédés de nos autoroutes. Ce cas est semblable, et pis encore, car c’est le moteur économique de toute une région qui va être bradé, alors que, comme cela a été rappelé, l’aéroport de Nice gagne de l’argent.
Je vous demande d’être très attentif, monsieur le ministre, au message que vous adressera la population niçoise lors du référendum du 19 février prochain.