Intervention de Roger-Gérard Schwartzenberg

Réunion du 17 février 2015 à 17h30
Commission des affaires sociales

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRoger-Gérard Schwartzenberg :

Je crois comme mes collègues que l'article 1er doit faire référence au respect de la volonté du patient qui fonde le texte.

Si le patient ne souhaite pas recevoir la sédation profonde, que M. Leonetti a précédemment qualifiée très justement d'anesthésie, il faut qu'il puisse l'exprimer. Cette solution, qui semble présenter quelques inconvénients, ne doit pas lui être imposée.

Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cette intervention.

Inscription
ou
Connexion