La notion de « lieux privatifs de liberté » recouvre des réalités très différentes : zones d'attente dans les ports, dans les aéroports, dans les gares, mais aussi les centres de rétention administrative, les secteurs psychiatriques délivrant des soins sous contrainte, les dépôts de tribunaux, les locaux de garde à vue… Les modalités de la politique de réduction des risques ne pouvant donc être les mêmes pour toutes ces structures, j'émets un avis défavorable, même si le principe reste louable.