L'amendement DN2 a trait à un problème assez récurrent : les contraintes fixées par les installations militaires, qui compromettent le développement de l'énergie éolienne terrestre. La presse s'en est fait l'écho et chacun a pu voir les cartes qui ont été dressées : les seules contraintes militaires actuelles liées aux radars, zones d'entraînement et couloirs RTBA – réseau très basse altitude défense – amputeraient 47 % du territoire métropolitain, ce qui irait à l'encontre des orientations de la loi sur la transition énergétique que notre assemblée a adoptée hier en seconde lecture.
L'amendement vise à expérimenter dans cinq départements français une distance réduite entre les installations éoliennes et les installations militaires.