Elle a repoussé l’amendement car la question de la cyberdéfense est déjà au coeur du Livre blanc. Les recommandations y sont inscrites et elles sont actées par le Gouvernement, qui s’est engagé en matière d’augmentation des effectifs et de moyens financiers et techniques. Au moins 1 000 militaires et civils seront recrutés pour travailler dans ce domaine. L’avis est donc défavorable, même si nous partageons la volonté de M. Folliot de développer ce secteur.