M. Issindou vient de faire un brillant exposé, après avoir rendu un rapport très intéressant. Chacun, me semble-t-il, ne peut que s'accorder sur le constat : la médecine du travail connaît un problème de vocations. Toutefois, si nous sommes plutôt favorables à ce que nous venons d'entendre, nous aimerions avoir le temps de lire attentivement ces amendements avant de les voter. S'ils étaient mis aux voix, nous nous abstiendrions « positivement ».