Les metteurs en marché ont été interpellés. Il faut, à coup sûr, que nous nous organisions mieux, que nous nous restructurions et que nous concentrions nos opérateurs commerciaux – je demande que ne soient reconnus que ceux qui ont le transfert de propriété.
La contractualisation constitue pour nous une sorte de leitmotiv : la contractualisation avec l'éleveur est à la base de notre fonctionnement, et au sein de la filière, elle nous permet d'être présents jusqu'à la distribution. Elle représente aujourd'hui 20 à 25 % de notre volume d'activité, et nous voulons encore progresser.