Quant à l'idée d'un impôt économique dynamique, elle fait long feu lorsque des pans entiers de l'activité s'effondrent, comme en 2008 au moment de la crise : les propos de monsieur Biré l'ont confirmé.
Selon vous, messieurs, l'organisation actuelle des collectivités leur permet-elle de s'adapter rapidement à des aléas économiques, mais aussi climatiques – nous en avons eu un exemple récent, très localisé ? Ne devraient-elles pas constituer des provisions dans la perspective de tels événements, qui n'ont rien d'exceptionnel ?