C’est précisément pour cette raison que nous sommes à l’aise pour aborder de face, avec lucidité ce sujet difficile. Il fait certes débat, mais dans le respect, ce dont je me félicite.
Monsieur Issindou, si le système général est en équilibre, c’est parce que la réforme de 2008 était fondamentale. Reconnaissons ensemble que l’accord sur les retraites complémentaires du 30 octobre dernier accentue les iniquités entre le public et le privé dans la mesure où il ne concerne que le privé.