Ma question, qui pourra paraître mineure à certains mais qui ne l'est pas pour bon nombre de nos concitoyens, porte sur l'engagement pris par les grands opérateurs de téléphonie mobile en matière de résorption des zones blanches et d'équipement en haut débit. Il existe un fort décalage – parfois du simple au triple – entre l'estimation que font les opérateurs historiques du nombre de zones à résorber et celle qu'en font les secrétariats généraux pour les affaires régionales (SGAR) et les départements.
D'autre part, il semble que le processus traîne en longueur et que la concertation avec les parlementaires, les collectivités territoriales et l'ensemble des structures concernées soit insuffisante. Quand l'État fera-t-il appliquer l'engagement des opérateurs en exigeant d'eux une plus grande transparence ?