Je continue de m'interroger sur la notion d'individualisation. Tout le monde n'a pas le même parcours, loin de là – certains ont des parcours difficiles, hachés, précaires, et acquièrent peu de droits ; d'autres en acquièrent beaucoup, qu'ils n'utiliseront pas. Les amortisseurs qui existent aujourd'hui permettent, autant que faire se peut, d'offrir une compensation aux premiers.
Comment faire fonctionner cette individualisation, dans un monde où l'inégalité est permanente ?