Monsieur Morin, cet amendement ne traite pas de harcèlement sexuel, mais d'agissements sexistes – dont les dommages sont en effet démontrés. Certes, le problème est réel, madame Coutelle, et je partage votre analyse sur ce point ; mais je n'en tire pas les mêmes conclusions. Demander à l'employeur de prouver qu'il n'y a pas d'atteinte à la personne ne me paraît pas une réponse adaptée.