Je vous fais confiance, monsieur le rapporteur ; il me semblait qu'il s'agissait de deux étapes quelque peu différentes : le CHSCT doit s'impliquer dans la prévention des agissements sexistes – ce qui vaut la peine d'être précisé, car rien ne dit que tous les représentants du personnel sont sensibilisés à ces problèmes –, mais l'employeur met ensuite les mesures en oeuvre.