Elle est portée aussi par l’investissement des entreprises, qui s’est fortement accéléré, en augmentant de 1,6 %.
Le nombre de défaillances d’entreprises a par ailleurs baissé de 10 % en un an, ce qui constitue la plus forte baisse depuis 2009.
Et si la croissance revient, si nous créons à nouveau des emplois – il y en a eu 80 000 en 2015, ce qui reste bien sûr insuffisant –, si nous obtenons des résultats encourageants en matière de baisse du chômage,…