Vous évoquez beaucoup la nécessité d'une plus grande transparence sur les financements. Considérez-vous que la masse des fonds gérés dans le cadre paritaire est assimilable à de l'argent public, avec les conséquences que l'on peut en tirer en matière de contrôle ? Les négociations sont l'occasion pour chacun de défendre ses idées, qui sont respectables, mais les échanges sont parfois ubuesques et théâtraux : on claque les portes…