Intervention de Maud Olivier

Réunion du 1er juin 2016 à 14h00
Délégation de l'assemblée nationale aux droits des femmes et à l'égalité des chances entre les hommes et les femmes

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMaud Olivier, rapporteure :

Les études de genre sont transversales et concernent plusieurs disciplines, mais on n'en trouve pas la trace dans les sciences dites « dures ».

En mathématiques ou en physique, les études de genre ne sont pas à l'ordre du jour. Nous constatons l'absence de femmes dans ces filières, y a-t-il quelque chose à faire ?

Mon autre question porte sur les conséquences économiques des études de genre. Le Japon n'est pas un pays très ouvert aux étrangers, et ils se sont aperçus récemment du potentiel qu'ils avaient à disposition parmi les femmes, qui pourraient être encouragées à suivre certaines filières assez poussées dans le domaine scientifique. Ils ont pensé qu'il serait peut-être bon que les femmes aient leur place dans ces études, et se sont mis à travailler sur les études de genre.

Je n'ai pas pu vérifier cette information, mais j'ai trouvé intéressant d'analyser les retombées économiques des études de genre.

Enfin, nous travaillons sur le projet de loi relatif à l'égalité et à la citoyenneté, si vous avez des propositions d'amendements, je serai intéressée de les connaître.

Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cette intervention.

Inscription
ou
Connexion