Les amendements de Isabelle Attard pour ce dossier

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Monsieur le président, je vous prie d'excuser mon retard. Nous avions décidé, en commission, d'intégrer le terme « wifi ». Vous en souvenez-vous, monsieur le rapporteur ?

Je voulais être sûre que nous étions bien d'accord sur ce point. Il y a des nouvelles technologies sans fil qui peuvent être adaptées.

M. le rapporteur a raison, il a fallu dix ans à la Finlande pour établir le système que nous proposons. Allons-nous encore perdre dix ans ? En outre, pourquoi opposer liberté pédagogique et notation ? En quoi celle-ci est-elle contradictoire avec la liberté de choix laissée à l'enseignant pour faire en sorte que 100 % des élèves de sa classe a...

Je tiens à rappeler que le statut du professeur principal n'est pas une notion réservée à nos collègues de l'opposition. C'est une demande qui a été soutenue depuis fort longtemps par les élus d'Europe écologie, en particulier par Philippe Meirieu, qui prend vraiment en compte les cadres intermédiaires de l'éducation, dont le manque est criant....

L'alinéa 56 marque la volonté du législateur de lister toutes les compétences que l'enseignant devra acquérir pour être capable de se présenter dans sa classe et de faire face à tous les comportements des élèves. Il s'agit là d'une approche disciplinaire de la formation, mais nous avons également souhaité ajouter une partie sur l'enseignement ...

Cet amendement vise à réparer un oubli à l'alinéa 229 qui évoque « les personnels infirmiers » de l'éducation nationale. Nous pensons qu'il est important de le compléter en ajoutant « et les psychologues » : il est crucial de s'occuper aussi de cette partie-là de la santé de nos enfants. Je pense qu'il s'agit juste d'un oubli.

Mme Genevard a fait allusion à une erreur d'orthographe tout à l'heure, moi je voudrais attirer l'attention sur ce qui me semble être une erreur de conjugaison dans votre exposé sommaire. « Le métier d'enseignant n'attire plus les jeunes », écrivez-vous. Il faudrait écrire « n'attirait » plus les jeunes. Effectivement, en cette année particuli...

Nous nous sommes passés d'une situation où nous n'avions pas assez d'admissibles par rapport aux places ouvertes aux concours à la situation actuelle où nous avons enfin des candidats.

Vous critiquez l'expression de refondation de l'école, qui ne vous plaît pas. En revanche, il a beaucoup plu à tous ces candidats qui se sont inscrits car ils ont la conviction que l'école est enfin devenue une priorité. C'est pour cette raison que ce texte est une vraie loi de refondation.