Les amendements de Jean-François Lamour pour ce dossier

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Monsieur le ministre, nous saluons et nous soutenons votre démarche, complexe, vous l'avez dit vous-même, face à la Commission européenne. Nous avons combattu depuis pratiquement dix ans pour abaisser la TVA sur l'activité des centres équestres. Si le cheval n'est pas une installation sportive en lui-même, monsieur le rapporteur général, il es...

Depuis que vous êtes arrivés aux affaires, monsieur le ministre et monsieur le rapporteur, vous avez réussi, avec un certain talent, je le reconnais, à nous expliquer l'inexplicable. Cela dit, je crois que vous venez d'atteindre votre seuil de Peter.

Une fois de plus, vous nous expliquez que vous voulez revenir sur des dispositions que vous venez à peine de prendre. Vous souhaitez en effet supprimer, au profit d'une nouvelle taxe, l'amendement que vous nous avez présenté il y a quelques heures, qui évoquait la sous-occupation des résidences secondaires. De même, il y a quelques semaines, al...

En laissant parler notre président de groupe, monsieur le président, vous vous rendez compte que vous n'êtes plus au Conseil de Paris et que vous ne pouvez plus être juge et partie

mais seulement le garant de l'objectivité, et surtout du respect de l'opposition, ce dont je vous remercie. Ce débat, que vous jugez trop long, a du moins le mérite de délier les langues. Monsieur le ministre, monsieur le rapporteur général, puisque vous voulez des exemples concrets, laissez-moi vous en présenter un : ce matin même, le patron...

Malheureusement pour vous, les Françaises et les Français ne se sont pas embrouillés : ils se sont aperçus que vous étiez en train de les plumer et de leur faire les poches. Et vous n'en avez même pas fini, puisque vous programmez encore l'augmentation de la CSG ! C'est pourquoi nous nous opposons à la remise en cause de la défiscalisation des ...

S'agissant du pouvoir d'achat et de la compétitivité, on a bien compris que vous puisiez sans compter dans la poche des salariés pour tenter, autant que faire se peut, de leur faire payer vos dépenses nouvelles. Celles-ci représentent, comme le président de la commission des finances l'a très bien rappelé, vingt milliards d'euros sur cinq ans, ...

et en augmentant les charges des entreprises, alors que notre amendement entend essentiellement traiter de la question de la compétitivité, et des salariés ? Vous chargez à nouveau la barque en remettant en question cette exonération de charges. Je reviens à l'exemple des entreprises comme celle du 15e arrondissement, de plus de vingt salarié...

on commence déjà à surcharger la barque des entreprises et des salariés. Je pense, monsieur le ministre délégué, que vous êtes déjà dans l'impasse.

Je voudrais profiter de la défense de cet amendement pour répondre à M. Eckert, qui a comparé le taux horaire dans les secteurs automobiles allemand et français. Je prends acte des chiffres que vous nous avez fournis, monsieur le rapporteur général. On peut également citer la marge réalisée par les constructeurs, qui est à peu près similaire, d...

Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, quand je regarde ce collectif budgétaire, j'ai un peu l'impression de retourner à l'école. Malgré vos affirmations, monsieur Germain, ce texte détricote bien point par point les lois que nous avons votées. C'est du niveau de la cour de récréation Vous remettez en question tout ...

Vous en avez rajouté en proposant la date du 1er janvier, ce qui a permis au Premier ministre d'avoir le beau rôle et de trancher pour le 1er août.

Pour préserver l'emploi dans notre pays, nous avions augmenté d'1,6 % le taux normal de TVA, mesure qui n'aurait pas touché les produits de consommation courante. Allez maintenant expliquer aux Français que vous préférez augmenter la CSG, c'est-à-dire baisser les salaires, les pensions de retraite et les minima sociaux ! Nous nous opposerons à...

Pensez-vous sérieusement résoudre le problème de l'apprentissage scolaire avec en moyenne un enseignant supplémentaire par établissement ? Et pour quel coût ? Il y a encore quelques jours, le Président de la République parlait de 2,5 milliards d'euros. Il semble croire qu'on recrute des fonctionnaires pour seulement cinq ans, qu'on leur interdi...