Les amendements de Jean Lassalle pour ce dossier

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Monsieur le Premier ministre, député de France parmi les députés de France, je vous souhaite, du fond du coeur, bonne chance !

En vous écoutant, tout à l’heure, j’ai retrouvé ces millions de nos concitoyens qui m’ont parlé des mois durant et dans les yeux desquels j’ai lu ce qui ne suscite plus l’étonnement aujourd’hui mais qui, hélas ! je le crains, s’exprimera encore un peu à la fin du mois de mai prochain. J’ai revu les yeux remplis d’angoisse, de peur, de ceux qui ...

…e désir de reconquérir ce que leurs aïeux avaient ensemencé, la sève qui monte de la terre. Monsieur le Premier ministre, je souhaite de tout coeur que vous réussissiez. Vous êtes une force et une énergie, je le sais. Il faut que vous réussissiez car ce peuple rempli d’espoir en a besoin, rapidement. Sinon, je crains que le temps qui séparera...

reparler de France chérie, d’un espoir et d’un projet. Malheureusement, je ne souscris pas à toute la thérapie que vous nous avez proposée

et je vous exhorte à en changer. Je ne crois pas qu’à Valmy ou pendant la Seconde Guerre mondiale – vous avez cité le général de Gaule –, on se soit mis, au coeur de l’action, à changer la machinerie ou l’intendance du pays. D’ailleurs, il n’y en avait plus. On s’est plutôt efforcé de ranimer l’enthousiasme, de réenraciner la France d’en bas, d...

Il faut plutôt livrer la bataille de l’intelligence, faire en sorte que ce vieux peuple, qui s’est toujours retrouvé dans les grands moments de souffrance, s’imprègne à nouveau de sa propre intelligence, retrouve le french flair. C’est là que nous sommes bons, que nous retrouvons le goût de l’entreprise. C’est là que nous nous libérons et que n...

Je termine : comment commencer à reconstruire nos entreprises, comment relever notre agriculture moribonde et comment relancer un grand projet d’instruction publique, comme le firent Ferry et Grévy à un moment où la France était plus détruite encore qu’aujourd’hui. Monsieur le Premier ministre, bonne chance ! Mais j’aimerais tant que vous teni...