Les amendements de Patrick Hetzel pour ce dossier

320 interventions trouvées.

En vertu de l'article 58, alinéa 1. Comme vous le savez, il est possible de regarder nos séances sur le site internet de l'Assemblée nationale. Nous voyons bien que l'article 31 suscite des inquiétudes et, comme par hasard, un certain nombre de nos concitoyens viennent de m'informer qu'il est extrêmement difficile de suivre depuis l'extérieur ...

Nous sommes sur un point clé. Vous avez parfaitement raison, monsieur le ministre, et nous nous rejoignons lorsque vous indiquez qu'il faut combattre les stéréotypes de genre ; je crois que c'est évident, les choses à cet égard ne sont pas du tout clivantes. C'est un combat de tous les instants et, comme l'a d'ailleurs indiqué Annie Genevard, c...

Cela donne lieu aujourd'hui à un certain nombre de controverses. Dès lors qu'il y a controverse, cela exige une certaine prudence. Je salue, monsieur le ministre, la prudence dont vous avez fait part dans vos propos en indiquant qu'il est essentiel que l'école de la République repose sur des bases scientifiques. Dès lors, les choses sont claire...

C'est l'occasion de rappeler que nous sommes toujours devant le même type de pratique : lorsque l'opposition propose des amendements qui sont constructifs puisque cette question est évidemment importante, on nous dit systématiquement qu'ils sont satisfaits ; par contre, lorsqu'il s'agit de la majorité, on ne se gêne pas pour accepter un certain...

L'une des difficultés auxquelles nous devons faire face, et on le voit bien quand on évoque la question de l'information et de l'orientation, c'est de parvenir à ce que les métiers manuels soient davantage valorisés par le système éducatif. Quand nous échangeons dans nos circonscriptions avec les artisans et avec les parents des jeunes concerné...

Monsieur le ministre, je note évidemment avec plaisir que vous indiquez que nous avons souvent des préjugés. J'y vois, là aussi, votre analyse très subjective des choses. Je préférerais qu'il n'y ait pas de tels procès d'intention qui montrent que vous avez un certain prisme, ce qui n'est pas souhaitable dans le débat en cours. Il y a un souci...

Effectivement, cet article vise à supprimer une disposition de la loi Cherpion qui est récente puisqu'elle date de juillet 2011 : le fameux dispositif d'initiation aux métiers en alternance qui propose l'apprentissage à l'âge de quatorze ans. Notre formation politique n'a pas le monopole de ce sujet puisque Mme Royal l'a abordé aussi, comm...

Je sais bien que c'est difficile d'écouter l'opposition, notamment quand elle aborde des sujets sensibles qui touchent nos jeunes. Notre jeunesse mérite autre chose que des quolibets dans cet hémicycle. Le Gouvernement propose de limiter l'accès aux formations d'apprentis aux seuls enfants âgés de quinze ans révolus, retardant ainsi la possibi...

Il me semble important de préciser deux points. Monsieur le ministre a essayé, tout à l'heure, de caricaturer notre position. Quand Gérard Cherpion a défendu le projet de loi auquel il a laissé son nom, il a précisément insisté sur la nécessité de développer des approches inductives : je voudrais insister sur ce fait. En l'occurrence, le DIMA e...

Je suis vraiment surpris ! Je pense qu'il est désobligeant pour elle de considérer qu'elle ne sait pas de quoi elle parle, surtout de votre part, vous qui avez été son porte-parole. C'est bien ce que vous avez dit : « finalement, elle a cru que c'était au-delà de quinze ans »

En réalité, cela montre bien que ce sujet vous gêne, monsieur le ministre ! Franchement, je trouve que c'est extrêmement gênant ! Vous devriez aborder ce sujet différemment.

Je voudrais revenir sur deux points. Monsieur le ministre, vous venez de nous dire à l'instant, en répondant à Mme Genevard, que nous avions une discussion de café du Commerce, mais en réalité notre collègue a soulevé un point important. Dans ma circonscription, par exemple, les cent soixante-cinq communes, et donc les cent soixante-cinq maire...

Vingt-quatre heures après votre nomination, vous avez fait des déclarations tonitruantes, en disant que vous alliez mettre en place la semaine de quatre jours et demi. Il n'y avait là aucune concertation : c'est vous qui l'avez imposée, et vous avez d'ailleurs été recadré ipso facto par le Premier ministre. Enfin ! Quand même ! Vous avez la mé...

Certes, mais notre objectif est de les faire figurer dans la loi. Nous considérons que le référentiel métiers n'est pas le bon niveau normatif. Il serait préférable de pouvoir inscrire ces dispositions dans la loi. Nous exerçons là nos prérogatives de législateur.

Monsieur le rapporteur, je me permets d'insister. Vous le savez, le rapport annexé n'a pas valeur de loi. C'est la raison pour laquelle nous souhaitons que ces dispositions figurent dans le texte de loi et non dans le rapport annexé.

Je voudrais revenir sur ce qui fait l'objet de l'amendement n° 218 de Mme Genevard. Il nous semble important que le président d'université soit consulté au sujet des écoles de préparation au métier d'enseignant. Nous avons eu l'occasion de le dire en première lecture : nous sommes extrêmement inquiets de voir ces écoles dans une situation d'iso...

Je voudrais revenir sur les partitions de musique. Le rapporteur a rappelé que le rapport Lescure donnerait lieu à un débat spécifique et je respecte cet argument. Vouloir inscrire les partitions de musique dans le périmètre de l'exception pédagogique est très dangereux. Les éditeurs de musique doivent pouvoir équilibrer leur activité. En incl...

Oui, madame la présidente. Il s'agit de préciser que l'objectif est d'ériger l'école en priorité pour la nation. Dans un tel texte, une telle précision prend tout son sens.

Le débat a déjà eu lieu à plusieurs reprises, mais nous persistons. Pour nous, ce projet de loi n'a rien d'une refondation de l'école de la République. C'est la raison pour laquelle nous pensons que l'intitulé de l'alinéa 3 devrait être : L'école, priorité de la nation. Une telle rédaction est de nature à faire consensus, alors que le mot « ref...

Nous sommes exactement dans la même situation qu'hier : le rapporteur et le ministre ne nous donnent aucun argument pour justifier leur avis défavorable. Nous ne demandons pas mieux que de débattre ; or, de toute évidence, vous refusez de débattre dans cet hémicycle. C'était déjà le cas lors de la première lecture, ce fut le cas également hier...