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Questions orales de Nathalie Kosciusko-Morizet


12 interventions trouvées.

Monsieur le Premier ministre, ma question porte sur la police municipale à Paris. Demain s’achève in extremis la navette parlementaire du projet de loi relatif au statut de Paris. Ce texte restera une illustration supplémentaire d’un sectarisme dont Paris fait les frais et dont les Parisiens paient le prix. Au cours de la discussion de ce tex...

Monsieur le Premier ministre, en France, en 2016, un prédicateur peut, en toute impunité, encourager à ne pas fréquenter les mécréants, considérer une femme comme la moitié d’un homme ou faire croire à des enfants qu’écouter de la musique les transformera en cochons. Au cours des auditions menées pour l’examen de ma proposition de loi pénalisa...

Monsieur le Premier ministre, notre assemblée a voté cette nuit la prorogation de l’état d’urgence, mais nous savons déjà que ce texte est insuffisant. Le terrorisme prospère sur un terreau fertile : le salafisme. Des salles de prière se créent, des mosquées sont prises en main par des individus qui prêchent la haine, la supériorité de la loi ...

Monsieur le Premier ministre, Salah Abdeslam a été arrêté. Il sera jugé et sans doute condamné. Mais combien de temps restera-t-il vraiment en prison ? Cette question, beaucoup de Français se la posent depuis vendredi et elle prend une tournure particulièrement cruelle depuis les attentats de Bruxelles, qui font douloureusement écho à ceux de P...

Elle verra le jour le 1er janvier prochain, mais on se demande bien comment elle pourra exercer ses missions tant ses moyens sont inadaptés. Le budget de la Ville de Paris, mes chers collègues, s’élève à 9 milliards d’euros ; celui de la région est de 5 milliards d’euros ; quant à la future métropole du Grand Paris, elle disposerait d’un budget...

Monsieur le Premier ministre : « On nous a déclaré la guerre. » Le mot a maintenant été utilisé des deux côtés de l’hémicycle ; aussi, je ne veux pas vous interroger sur ce mot lui-même, mais sur les conséquences que vous en tirez, car on ne fait pas la guerre avec les moyens de la paix. Les attentats en France, en Tunisie et au Koweït ont mont...

Monsieur le Premier ministre, vous n’êtes pas avare de sentiments. Vous en avez d’abord déclaré au MEDEF, au mois d’août, votre flamme à l’entreprise. Quelques jours plus tard, vous renouveliez ici, dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale, vos serments à l’attention des socialistes.

Monsieur le Premier ministre, vous rendez-vous compte de l’absurdité de cette réponse ? Vous rendez-vous compte que les familles n’ont pas le choix ? C’est comme si on disait « Notre politique de matraquage fiscal est un succès, puisque les Français sont bien obligés de payer leurs impôts » ou « le RER B fonctionne bien, puisqu’il est bondé » !...

Pourquoi vous attaquer à ce qui marche bien ? Rien que cette semaine, vous voulez dénaturer le statut de l'auto-entrepreneur, qui a déjà permis de créer plus d'un million d'entreprises, et, surtout, vous vous attaquez à la politique familiale. C'est sur celle-ci que je souhaite vous interroger, monsieur le Premier ministre. Nous sommes très no...

Monsieur le ministre de l'intérieur, vous étiez hier à Lyon, où vous avez tenu une conférence de presse pour vanter les mérites de votre politique. Il y aurait beaucoup à redire à propos des lauriers que vous vous tressez. Sans doute pensez-vous que l'on n'est jamais si bien servi que par soi-même ! Le même jour avaient lieu dans la capitale ...

Ma question s'adresse au ministre de l'éducation nationale. Monsieur le ministre, avec votre réforme des rythmes scolaires, vous avez réussi à faire l'unanimité contre vous. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.) Pourtant, c'était la réforme qu'on ne devait pas rater, puisque c'est la capacité d'apprentissage et la santé de nos enfants...

Oui, les entreprises ont un problème de compétitivité. Oui, des allègements de charges sont nécessaires. Mais, chez vous, c'est un virage à 180 degrés ! (Mêmes mouvements.) François Hollande, Président de la République, disait qu'il n'y avait pas de problème de coût du travail et vous-même, au mois de juillet, avez supprimé la TVA anti-délocal...