Il est évident que ce n'est pas l'aspect financier qui doit guider nos choix en matière culturelle.Élue du Vaucluse, je suis toutefois heureuse que la culture soit reconnue comme un objet d'étude et, surtout, comme un moteur de l'économie locale et nationale. En ces temps de perturbations économiques et d'orages financiers internationaux, il me paraît crucial que le pays dispose de stabilisateurs, de moteurs qui, pour être auxiliaires, sont loin d'être accessoires.Notre pays n'est pas n'importe quel pays. Dans l'ADN de notre nation, la culture occupe une place à part. Elle est souvent perçue comme une passion française, un supplément d'âme, un luxe ...
Vous avez déjà répondu en partie à ma première question, qui était de savoir combien d'enquêteurs étaient exclusivement affectés à la recherche de réseaux de prostitution.Par ailleurs, suivez-vous automatiquement les annonces explicites de prostitution ou recherchez-vous l'existence de réseaux sur la base de soupçons suscités par des actions sur le terrain ?
L'école ne se réduit pas à la formation : elle sert aussi à se construire.
Il faudrait de toute façon corriger la première phrase ; la formulation correcte serait : « Celles-ci doivent favoriser l'épanouissement personnel et la construction de l'autonomie intellectuelle des élèves ».
Sciences Po est l'un des maillons importants de la formation supérieure dans notre pays. Sa spécificité doit être préservée, mais il faut que le calme et la mesure reviennent rapidement.Même si la proportion d'élèves boursiers s'est accrue, elle demeure insuffisante. Les conventions avec les établissements des ZEP ont conduit à une légère modification du recrutement, mais elles ont concerné moins de 900 élèves en dix ans. Le volet social ne relèverait-il pas des « bonnes oeuvres » ? En effet, les frais de scolarité grimpent mais en même temps, on annonce qu'il y a davantage d'étudiants boursiers…Quelles mesures prendre pour mieux assurer ...