Personne ne pense cela !
Et pourquoi ?
Tout à fait !
Ces peuples constituent la République !
Il va remettre de l’ordre !
Vous auriez dû dire : « les Corses ».
Nous choisissons le calendrier grégorien !
Les Corses nous aideront.
Et en fusionnant non pas quatre mais cinq départements, de façon à réunifier la Bretagne !
Ils le souhaitent, même.
C’est vrai.
Avant celle de Bretagne !
Madame la présidente, monsieur le ministre, garde des sceaux, monsieur le président de la commission, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, nous débattons pour la troisième fois dans cet hémicycle de la réforme de la prescription en matière pénale, fruit du travail important fourni par la mission d’information conduite par nos collègues Alain Tourret et Georges Fenech.Comme mes collègues du groupe de l’Union des démocrates et indépendants l’ont indiqué au cours des précédentes lectures, nous approuvons les objectifs de ce texte. Le droit de la prescription est fragilisé non seulement par les progrès de la science, mais aussi et surtout par ...
…la souveraineté de nos agriculteurs, tout d’abord ; redonner de la fierté au métier d’agriculteur, ensuite, car c’est l’un des plus beaux métiers que celui de nourrir les hommes.
Mon dernier mot sera un message d’espoir, malgré un regret – celui qu’au cours de cette législature nous n’ayons pas réussi à travailler sur une plus juste valeur et une plus juste répartition des richesses, tout au long de la filière, au profit des agriculteurs.Deux défis restent à relever :…
Mais lorsque vous l’avez fait, vous avez eu des résultats, sur la question de l’étiquetage comme sur celle des volumes, et vous avez su entraîner un certain nombre de vos collègues ministres de l’agriculture ou des affaires européennes.
Comme vos prédécesseurs Michel Barnier et Bruno Le Maire, vous êtes arrivé dans un contexte agricole français et européen particulièrement tourmenté, mais je n’ai jamais douté de votre volonté de bien faire. Voilà pour le bon point.Je vous donnerai néanmoins quelques mauvais points – comme je l’ai déjà fait en privé. Premièrement, j’ai regretté que vous ne vous concentriez pas sur les questions agricoles et agroalimentaires et que votre message soit brouillé par le fait que vous soyez également porte-parole du Gouvernement. Deuxièmement, j’ai regretté que, malgré une expérience européenne reconnue, vous agissiez tardivement à l’échelle ...
En revanche, je me permettrai de vous adresser quelques mots personnels, monsieur le ministre. J’ai eu plaisir à travailler avec vous au cours de cette législature, et je reconnais votre compétence et votre bonne volonté.
Comme nous l’avions dit en première lecture, nous soutenons les mesures visant à élargir les prérogatives des SAFER, inscrites au titre Ier. Les SAFER ont pour mission de réguler le prix du foncier et de structurer notre espace agricole ; il était donc indispensable de renforcer leurs pouvoirs. L’extension de leur droit de préemption aux cessions partielles de parts sociales, prévue à l’article 3, va donc dans le bon sens. Le compromis trouvé en commission mixte paritaire sur l’article 1er est également louable et permettra à l’ensemble des exploitations d’acquérir les terres qu’elles louent sans avoir à créer une société de portage foncier ...