L'ANSM, née à la suite du scandale du Mediator, semble très impliquée dans la lutte contre les conflits d'intérêts. L'institution est dotée d'un nouveau corps de 270 experts externes censés n'avoir aucun lien avec l'industrie pharmaceutique. Cependant, au vu des déclarations publiques d'intérêts signées par ces experts, on constate que ce n'est pas le cas de tous. Comment, dès lors, obtenir des garanties d'indépendance suffisantes ?