Le lourd conflit que vous avez affronté a entraîné 300 millions d'euros de pertes. Mais avez-vous déjà pu mesurer les pertes économiques induites, en termes de tourisme, et en particulier de tourisme d'affaires ?
Nous avons vu le secrétaire d'État aux transports annoncer la suspension du plan Transavia Europe, avant que la direction d'Air France n'oppose un démenti. Ne pouvait-on faire mieux pour sortir rapidement du conflit ?
Alors que le marché des vols à bas coût progresse de 2 % par an, vous avez dit à juste titre que le marché français attise la convoitise de toutes les compagnies internationales. Je ne peux qu'approuver votre volonté de réagir.