On peut l’imaginer…
Il faut voter par assis et levé.
Vous devriez faire du sport, ça libère des endorphines !
C’est ridicule ! Et le soleil de Montpellier, lui aussi vous le fiscaliserez ?
Quel manque de courage !
Mais alors c’est le nivellement par le bas !
Mes chers collègues, il faut voter cet amendement, c’est évident ! Les arguments relatifs à la politique de santé publique sont majeurs. Comme Valérie Fourneyron l’a rappelé, la sédentarité est le problème du siècle ; il en va autant de l’obésité, des maladies cardiovasculaires et du stress. Je mentionne la question de la santé mentale en entreprise car nous menons actuellement, avec Gérard Sebaoun, une mission d’information sur ce thème, et chacun sait que les effets du sport sont extrêmement bénéfiques pour éviter ce qui représente la première cause d’arrêts de travail dans les entreprises.Pour ce qui est de la jurisprudence, je ne crois pas, ...
Si vous corrigez toutes les erreurs, on n’a pas fini !
Je suis très étonné par votre argumentation, monsieur Issindou. Je n’aurais jamais imaginé que vous puissiez défendre une telle position, d’autant que vous donnez des arguments en faveur du lait de montagne pour expliquer ensuite qu’il ne faut pas l’aider.Comment se passe la production de lait en zone de montagne, monsieur le secrétaire d’État ? Vous vous êtes probablement un peu égaré tout à l’heure, mais vous avez une propension à vous énerver quand vous êtes pris en défaut de cohérence. Les agriculteurs, en général, luttent contre le courant qui consiste parfois à créer des fermes immenses, des ranchs, de mille vaches par exemple. S’opposant ...
Ce ne sont pas les mêmes !
Certes, mais c’est insuffisant.
Aveyronnaises ?
Les propos que je m’apprête à tenir concernent cet amendement no 308 en particulier, mais également les précédents. Il est vrai que nous aimerions obtenir du rapporteur, comme du secrétaire d’État au budget, des réponses qui ne soient pas uniquement des réponses administratives préparées par leurs services.Eh oui, nous appelons de nos voeux des réponses porteuses de visions qui soient un tant soit peu politiques. L’incohérence dont vous parlez est, au fond, budgétaire. Je vous vois secouer la tête, monsieur le secrétaire d’État ; mais vous avez pris comme arguments d’une part le fait que les cotisations en question représentent environ 29 millions ...
Tout à fait !
Quelle mauvaise foi ! Que ne faut-il entendre !
Nous ne somme pas là pour ça !
Il n’y a plus de député de la majorité !
Vous étiez en minorité, c’est tout !
C’est plutôt le terrorisme qu’il faut regretter !