Intervention de Guillaume Larrivé

Séance en hémicycle du 28 mars 2013 à 15h00
Circonscription unique pour l'élection des représentants français au parlement européen — Article 1er, amendements 8 14 22 25 33

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaGuillaume Larrivé :

Qu'il me soit permis de dire au président Giacobbi que l'unisson a sa beauté. Il est en tout cas plus agréable à entendre que cette espèce de cacophonie à l'intérieur de la majorité.

Je veux surtout répondre à M. le rapporteur, qui s'est livré à un rappel historique. Il a très précisément affirmé qu'en 1977 nous avions voté pour la circonscription unique, mais je ne sais pas très bien ce que désigne ce « nous ». Pour ma part, je suis né en 1977, et je ne siégeais pas alors sur les bancs de l'Assemblée nationale. (Sourires.) Je ne me sens donc pas complètement lié par le choix fait par une majorité d'il y a maintenant trente-six ans.

Plus sérieusement, je pense profondément que, dans une démocratie moderne, soucieuse d'être comprise par les citoyens, nous avons le devoir de ne pas modifier tous les quatre matins les modes de scrutin. J'en ai vraiment la conviction.

Sur le terrain comme dans les études…

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