Et l’affaire du scooter ?
Quelle révolution !
À quoi sert le ministre des transports, alors ? À rien ?
Quel est votre job, alors ? À quoi servez-vous ?
On voit le résultat !
Les voilà rassurés !
Un peu de respect, s’il vous plaît !
Rendez l’argent ! Remboursez !
Nous voulons entendre Bruno Le Roux !
Nous, on ne vous félicite pas.
La banlieue va crever !
Pourtant, c’est sur la foi de ces résultats calamiteux, désastreux, que la maire de Paris a décidé de la fermeture de l’axe ouest-est, c’est-à-dire la rue de Rivoli. C’est un bras d’honneur adressé aux Franciliens, au commissaire enquêteur, aux entrepreneurs, aux 130 maires de la métropole du Grand Paris, mais également au Gouvernement, qui s’était engagé devant l’Assemblée nationale à respecter la plus large concertation avec les élus avant toute autre décision définitive de la Ville de Paris. Ces destructions massives en matière d’économie, d’écologie et d’emplois sont catastrophiques pour la région Île-de-France et la métropole ...
Ma question porte sur les conséquences désastreuses de la fermeture brutale et sans concertation des voies sur berges à Paris. À l’origine, les objectifs étaient clairs : réduire la pollution aux particules fines, réduire le trafic automobile et restituer les voies sur berges aux Parisiens. Les résultats sont catastrophiques : aucun impact positif sur la pollution selon Airparif et une augmentation massive des bouchons – 25 % de trafic supplémentaire sur certains tronçons du périphérique, 30 % et 340 kilomètres de bouchons sur l’A4 et l’A86, 48 % quai du Louvre, 84 % quai de l’Hôtel-de-Ville, 91 % quai Henri-IV et un RER A complètement saturé. Mais ...
Par la Française des jeux ?
Tiens, un défenseur de Macron !