Les amendements de Alain Fauré pour ce dossier

28 interventions trouvées.

Cet investissement est celui dont nous pouvons être le plus fiers, car il permettra à notre pays, dont la démographie est aujourd’hui encore dynamique, de poursuivre son développement dans le temps. Tout cela dans le but de bâtir la France de demain et de permettre aux jeunes de mieux réussir leur vie d’adulte.

Nous poursuivons en outre notre soutien à l’économie, à hauteur de 33 milliards d’euros, avec les mesures de soutien aux entreprises, découlant du CICE, du Pacte de responsabilité et de solidarité, des allégements et d’autres mesures favorables aux TPE et PME.

Eh oui, chers collègues, et cela contrairement à ce que l’on avait pu connaître jusqu’en 2013 ! Il en va de même pour les créations d’emplois. Vous comprendrez donc que je soutienne le budget 2016 proposé par le Gouvernement. Ce budget est construit sur des bases réalistes et solides : une croissance de 1,5 %, une évolution des taux d’intérêt...

…la culture bénéficieront de moyens financiers et humains plus importants. C’est assurément contribuer à l’unité et à la sauvegarde de la République.

Madame la présidente, madame Dalloz, le ton de votre exposé pour nous inciter à voter cette motion de renvoi en commission montre que vous-même n’y croyiez pas.

Non, vous n’y croyiez pas, le ton n’était pas au rendez-vous, et je vous comprends. En effet, le budget a été établi sur la base d’une croissance de 1,5 %, chiffre reconnu par toutes les instances – FMI, BCE, etc. – et qui ne saurait être remis en cause. L’Europe, donc nos partenaires, reconnaît également l’engagement de la France et les effo...

Les recettes sont donc garanties, madame Dalloz, mesdames et messieurs les députés des Républicains, afin d’accompagner les dépenses que nous avons engagées et qui seront donc effectives. Pourquoi un tel renvoi en commission ? Constater une fois de plus l’absence des députés de droite, plus préoccupés de cumuler les mandats que de défendre le ...

Il n’y aura pas de renvoi en commission car rien ne le justifie – d’autant qu’à l’écoute des propositions de M. Mariton, qui persiste à reproduire les erreurs qui ont été faites de 2002 à 2012, nous irions assurément dans le mur, pied au plancher ! Gouverner, c’est choisir – nous le faisons – mais c’est aussi prévoir, monsieur Mariton, c’est a...