Déposé le 6 décembre 2013 par : Mme Berthelot, M. Potier, Mme Got, M. Fruteau, Mme Vainqueur-Christophe, M. Letchimy, Mme Louis-Carabin, Mme Bareigts, M. Grellier, Mme Massat, Mme Marcel, les membres du groupe SRC.
A l’alinéa 5, entre les mots « agriculture familiale » et « et à l’installation des agriculteurs », insérer les mots « , l’agriculture vivrière »
La prise en compte et la reconnaissance de l’agriculture de subsistance et de l’agriculture vivrière est indispensable dans les outre-mer. Cela permettra à ces agriculteurs, qui représentent une part considérable de l’économie agricole ultramarine de disposer d’un statut et éventuellement de se rassembler en groupement d’intérêt économique et environnemental (GIEE).
Dans les îles de Wallis-et-Futuna par exemple, l’agriculture n’est pas inexistante, mais n’est pas du tout professionnalisée. Elle reste fondée sur la satisfaction des besoins familiaux, à partir de cultures vivrières souvent variées mais réalisées de manière informelle.
En Guyane, il n’y a pas beaucoup d’exploitations moyennes (moins d’une centaine pour une superficie totale d’environ 1 000 hectares). Et la plus grande part de l’économie agricole est basée sur l’agriculture vivrière.
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