Déposé le 2 octobre 2015 par : Mme Maréchal-Le Pen, M. Collard.
Après le mot :
« personne »,
rédiger ainsi la fin de la première phrase de l'alinéa 3 :
« consciente, en état de discernement et dûment informée a le droit de refuser ou de ne pas subir tout ou partie des traitements proposés, y compris les analgésiques ou les sédatifs destinés à soulager. »
Il est nécessaire de préciser que la personne doit être en état de prendre une décision libre et éclairée. Elle a également le droit de refuser les analgésiques et les sédatifs. La décision est valable également lorsqu'il s'agit de refuser une partie des traitements.
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